Arielle Dombasle est à New York. Elle est « tout ce qu'une chanteuse française doit être », selon le New York Sun, « vulnérable et sexy, suprêmement mince, et désespérément amoureuse de l'amour. » Tellement parisienne que le journaliste du New York Times voudrait la pincer pour s'assurer qu'il ne rêve pas face à « la personne vivante la plus française » qui peut « citer Montaigne ou Colette aussi facilement qu'elle peut porter des ensemble St Laurent ou sa blondeur de Brigitte Bardot »
Ah si seulement ils avaient lu la critique de l'autre journaliste du Times qui est allé la voir sur scène plus tard quelques jours plus tard. « Quand des artistes européens sont agressivement présentés comme étant le nec plus ultra d'un je ne sais quoi venu d'Europe, nous américains avons tendance à perdre la tête et mordre à l'hameçon. » Il ne faut pas tomber dans le panneau, insiste t-il, même si son mariage avec BHL pourrait ajouter à l'intimidation culturelle. Lui a assisté à un « concert médiocrement chanté », par quelqu'un qui ne pouvait chanter que six notes et s'est montré «dépourvu de toute profondeur d'interprétation » Le Daily News, lui, n'a pas regardé sur scène mais dans la salle, notant qui était là pour la première : Michael Douglas, John Malkovich, Lauren Bacall, Salman Rushdie… "Une fermeture éclair cassée sur son troisième costume menaça de lui donner une plus grande exposition. Son mari, l'auteur Bernard Henri Levy ne semblait pas y voir d'objection. »
C'est la dernière année de Chirac qui « au plus haut il y a trois ans » souffre maintenant de « blessures auto-infligées » raconte USA Today. Bien que les frites de la caféteria du Congrès soient redevenues des « french fries », « la France reste un punching bag assuré pour certains politiciens américains." relève le quotidien. "En course pour sa réélection, le sénateur Rick Santorum, a provoqué de grands rires les mois dernier en décrivant les forces musulmanes aux portes de Vienne en 1683 : il dit qu'elles furent arrêtées quand le monde s'unit contre elles « à l'exception de la France. Il y a des choses qui ne changent pas. »"
Le
New York Times
est allé à Lyon pour la biennale et note le contraste entre
les parades américaines à l'ordre quasi
militaire et les françaises plus informelles à l'atmosphère de cirque.
Dijon, ce n'est pas que de la moutarde, annonce le Washington Post, c'est aussi une ville avec 158 jours de pluie par an. Le journaliste prend le train avec une femme qui n'y a jamais vu le soleil, arrive à Dijon, "trop petit pour être un village, trop provincial pour être une ville". Il apprécie la sobriété du service dans les restaurants. Notamment lorsqu'un serveur lui apporte ses joues de bœuf. « Il m'a souhaité une bonne continuation (excellente continuation aurait été un peu excessif)» Il va visiter le musée de la moutarde à Amora-Maille et apprend que Maille appartient à Unilever, que les graines de moutarde poussent au Canada et que celle qu'il consomme aux Etats-Unis « ne voit jamais le ciel nuageux de Dijon. »
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Mr. Holden du NYTimes assassine A.D. en quatre paragraphes, ça c'est de l'art...
Rédigé par : Henri | 27 septembre 2006 à 12:34
Une attitude positive à l’égard du travail, disposées et aptes à opérer dans aucun contrôle ménagé ses efforts.
Rédigé par : chanel replica watches | 15 novembre 2010 à 08:36
Really good hope you can continue to write better articles!
Rédigé par : coach shoes | 16 novembre 2010 à 07:27
Un petit corps ports souvent une grande âme.
Rédigé par : TRUE RELIGION JEANS OUTLET | 11 janvier 2011 à 04:33